It's ALIVE !
En vrac !
AAAAAAAAHHHH ! La cérémonie des césars, fierté française qu’il est de bon ton de critiquer pour ses choix de présentations (euh ! Antoine "coco" DECAUNES continue de faire tes pubs pour la poste... ) et ses résultats préférentiels… Ben oui cette année encore, on va encore critiquer tellement c’est… (à) chier non ?!
Il en faut pour tous les goûts (où est « à l’intérieur » de Julien MAURY et Alexandre BUSTILLO ?) et surtout pour l’élite et les vrais faux connaissoyeurs journaleux (Nooonnn ! Pas tous, mais ceux de première (fashion pouffe maintenant), studio, ciné live… ).
On écarte le cinéma de genre (ou d’animation type « renaissance », notre blade runner à nous ! – quoique cette année on a « persepolis » (intéressant au demeurant) à cause de l’effet cannes quoi ! C’est plus branchouille !). Bon ! C’est dommage, on a pas eu Arthur et les minigols 2 : à la recherche de l’encéphalo plat (Luc, arrête de te regarder enfin dans le miroir pour t’accepter ; tu nous ponds des merdes – après Jeanne d’Arc, c’est prout !).
Y aurait pleins de choses à dire et à débattre tellement tout cela est vaste et plus riche que les p’tites bafouilles que j’ai tapées…
On finira dans la « mauvaise foi » (Ouaf ! j’peux pas m’en empêcher !) avec ze film : « la môme » qui a eu son lot de césars compactés et encensé (censé ?) de toute part. Pour le maquillage de Marion COTILLARD en Edith « frankenstein » PIAF c’est sûr ça vaut le détour. Cela me rappelle le maquillage excessif de la vieille qui se fait lifter dans brazil (terry gilliam).
Bien sûr le tout est magnifié par la mise en scène d’ Olivier « moi-je » DAHAN (rappelons nous les rivières pourpres 2, un Z bourrin du samedi soir).
AAAAAAAAAHHHH ! Le cinéma français, d’un seul genre, d’une seule (sâle ?) odeur d’ « auteurisants » (ça se dit ?)… Patron versez moi un p’tit FRANJU et un p’tit LALOUX pour la route… Et pi aussi un p’tit MELIES !
Mike